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Chine deuxième économie mondiale

Ralentissement économique de la Chine : une préoccupation mondiale

La Chine, deuxième économie mondiale, est confrontée au défi du ralentissement de la croissance économique, ce qui entraîne une pression accrue sur le gouvernement pour stimuler et améliorer la trajectoire de croissance. Une intervention urgente des décideurs politiques est essentielle pour enrayer la baisse de confiance des consommateurs et des entreprises, en prévenant les répercussions potentielles qui pourraient s’étendre à l’échelle mondiale.

Les stratégies précédentes de la Chine qui ont fonctionné pendant sa phase de rattrapage perdent de leur pertinence en raison d’un endettement excessif et de possibilités de construction limitées. La surcapacité est évidente dans les infrastructures sous-utilisées et les appartements inoccupés. Les rendements des investissements ont diminué.

Les économistes prévoient que la Chine entrera dans une ère de croissance plus lente, exacerbée par les défis démographiques et une tension croissante avec les États-Unis et leurs alliés, ce qui aura un impact sur les investissements et le commerce étrangers.

Malgré un objectif gouvernemental de 5 %, le FMI prévoit que la croissance du PIB chinois sera inférieure à 4 %, une baisse notable par rapport à sa moyenne historique de près de 10 % au cours des quatre dernières décennies. La Chine, historiquement un moteur de la croissance mondiale, inquiète désormais les dirigeants et les investisseurs internationaux, car sa récente décélération économique sape son rôle de bouclier contre les faiblesses mondiales.

Une dépréciation significative du yuan — atteignant son plus bas niveau en 16 ans — a incité la banque centrale à défendre sa devise en fixant le taux de change du dollar au-dessus des estimations du marché. Parallèlement, le chômage record des jeunes à 21 % en juin et les données décevantes de juillet, englobant la baisse continue des prix de l’immobilier urbain, contribuent aux inquiétudes croissantes.

Le secteur pivot de l’immobilier, qui représente un quart de l’économie, est aux prises avec des problèmes importants, catalysés par la défaillance de China Evergrande Group et la crise de trésorerie de Country Garden Holdings. Les paiements obligataires offshore manqués par ce promoteur exacerbent la situation, et les pertes subies par les promoteurs publics entravent leur capacité à finaliser les engagements initiés par leurs homologues privés en difficulté. Ces difficultés soulignent les craintes plus larges d’une crise financière.

Une stabilisation efficace de l’économie chinoise par une politique décisive est primordiale pour atténuer ce risque. Pour stimuler la croissance, la banque centrale a réduit un taux directeur pour la deuxième fois en trois mois. Le taux préférentiel de référence à un an a été abaissé de 3,55 % à 3,45 %, mais la banque centrale a défié les prévisions en maintenant inchangé le taux équivalent à cinq ans.

La tourmente de la Chine se répercutera probablement en raison de son statut de deuxième économie la plus importante du monde, responsable d’un tiers de la croissance mondiale. Les États-Unis, bien que moins sensibles que l’Europe, l’Asie ou les marchés émergents dépendants des matières premières en raison de leur économie axée sur la consommation, restent vulnérables.

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